Draco Malefoy ; that's not my fault that i'm so evil it's society, society..

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Lettre d'admission

NOM •

Malefoy.

PRÉNOM(s) •

Draco.

SURNOM : •

Dray. Mais il n'y ai que Blaise au monde qui soit autorisé à l'appeler ainsi.

AGE •

17 ans.

ANNÉE •

7ème.

MAISON •

Serpentard. Comment aurait-il pu en être autrement ?

DATE & LIEU DE NAISSANCE •

5 juin 1980, Londres.

NATIONALITÉ •

Anglais.

SANG •

Draco est un Sorcier, pur souche, et surtout le dernier héritier de la lignée Malefoy, et donc un Sang Pur par excellence. On le lui a d'ailleurs répété un nombre incalculable de fois, et il ne se lasse pas lui-même de le redire.

BAGUETTE :

30 centimètres, en bois d'aubépine, et contenant un crin de licorne. Acquise chez Ollivander.

ANIMAL DE COMPAGNIE :

Un hibou Grand Duc offert par son père pour son entrée à Poudlard. Il répond au nom de Cormack, référence à Catriona McCormack, capitaine de l'équipe de Quidditch de l'Orgueil de Portree que Draco affectionne particulièment.

EPOUVANTARD :

Ayant tout fait durant sa troisième année pour ne pas avoir à y être confronté, il l'ignore. Ce pendant on peut supposer qu'il pourrait prendre l'apparence du Seigneur des Ténèbres, qui impose une énorme pression sur sa famille et sur lui-même.

PATRONUS :

Ce sortilège étant très difficile à réaliser et non-enseigné à Poudlard, Draco n'a jamais été capable d'en produire un.

___Ca restera entre toi, moi et les meubles.

CAMP CHOISI •

Choisi ? C'est un bien grand mot.. Malefoy suit Voldemort, tout comme son père, qu'il cherche d'ailleurs à égaler sans pour autant savoir comment s'y prendre.

TON AVIS A PROPOS DE CETTE HISTOIRE •

Draco n'a pas réellement eu l'occasion de se forger un avis personnel. Il est manipulé par Voldemort et par les Mangemorts en général, qui voient en lui une jeune recrue servile mais dispensable. Il est de toute façon inenvisageable pour lui de rejoindre le camp adverse, ou même une quelconque neutralité. Son statut, sa naissance même lui imposent cette voie qu'il pense à toute jamais impossible à enfreindre, même s'il n'est pas certain de pouvoir l'assumer.

AUTRE CHOSE A DIRE PEUT-ÊTRE ?•

Draco est lâche, infiniment lâche. Bien sûr les circonstances peuvent tendre à le pardonner, mais on peut être sûr que si il réalisait un jour que ce qu'il fait est éloigné au possible de ce qu'il veut vraiment, il ne changerait pas pour autant. Sûrement pas tout seul en tout cas.

Draco Malefoy ; that's not my fault that i'm so evil it's society, society.. Sanstitre1rnj

Invité

Invité

g

c

~~[Message a effacer]~~

Si, mais je trouve que ça claque plus en Anglais.. En revanche je préfère Malefoy que Malfoy.
Je suis difficile ?

Merci, Hermione.

___Père castor, raconte nous une histoire..

HISTOIRE •

Draco a grandit dans le manoir familial, surprotégé par sa mère qui le considère depuis toujours comme le plus merveilleux, le plus beau et le plus adorable des enfants. Le seul à exercer un minimum d'autorité sur le jeune garçon était son père, peu présent dans son éducation sauf quand cela concernait les grandes idées auquel il croyait. Il suffisait d'un seul regard ou d'un seul mot de Lucius pour faire taire son fils quand tant d'autres avaient échoué avant lui ; en vérité évidemment c'était parce que Draco le craignait, quelque part. Celle qu'il craignait pourtant davantage encore était Bellatrix, la soeur de sa mère. Elle, elle lui fichait vraiment la trouille. Passant de l'hystérie aux murmures malsains, elle avait le don de toujours le mettre affreusement mal à l'aise, alors que ses parents semblaient trouver cela parfaitement normal. Au-delà de cela, Draco prouva à l'aube de ses cinq ans qu'il n'était pas un vulgaire cracmol, faisant littéralement exploser le grand lustre de la salle à manger quand sa mère refusa de lui offrir le tapis volant qu'il désirait tant. En résultèrent de nombreuses coupures et une bonne claque, mais surtout un petit sourire satisfait de son père, qui n'aurait sûrement pas apprécié que son fils n'hérite d'aucun pouvoir magique.
Il passa les cinq années suivantes à se créer une certaine sphère sociale comprenant en grande majorité les enfants des amis de ses parents, d'autres gosses de riches donc, et au demeurant plutôt.. insupportables, eux aussi. Quand il reçu la lettre de Poudlard son père lui tapota distraitement la tête, faisant remarquer quelques heures plus tad, pendant le repas, que s'il ne se retrouvait pas à Serpentard il serait le premier, ce qui eut le don d'inquiéter légèrement sa progéniture. Ces craintes ne furent pourtant pas confirmées, et il entra bel et bien à Serpentard, fier comme un paon, conquérant et avide de nouveaux pouvoirs. L'autorité parentale n'étant plus aussi écrasante, Malefoy se montra encore sinon plus imbuvable qu'auparavent, devenant rapidement l'élève favori du professeur Rogue, un vieil ami de son père qui enseignait les potions. Aujourd'hui rien ne l'enchante davantage que de terroriser les élèves plus jeunes ou les occupants des autres maisons que la sienne qui ont le malheur de se retrouver sur son chemin, aidé par ses fidèles chiens Crabbe et Goyle, qui s'ils ne savent rien faire sont au moins utiles pour ça.
Tout se déroula donc plutôt bien jusqu'à la nouvelle insurrection de Voldemort. Lucius Malefoy fut envoyé à Azkaban lorsque Draco terminait sa 5ème année, et ce dernier en retira une nouvelle vague de haine envers Harry Potter qu'il jugea aussitôt responsable de cela. L'été suivant tout s'enchaîna très vite pour lui. Il fut officiellement recruté en tant que Mangemort à la botte du Seigneur des Ténèbres, que son jeune âge ne semblait pas rebuter tant il était à ce moment avide de trouver de nouvelles recrues.
En plus de la marque ineffaçable qui fut gravée sur son bras, Draco reçut un ordre qui l'effraya au plus haut point.
Sa première mission.
Et pas des moindres..
Lui-même ne se doutait pas de l'ampleur de la tâche à accomplir. Dans un premier temps, il avait simplement reçu l'ordre de réparer l'armoire à disparaître. Puis, on lui avait expliqué pourquoi.
Bien sûr son père lui avait répété de nombreuses fois qu'Albus Dumbledore était une véritable plaie, qu'il n'avait pas sa place à la tête de l'école et encore moins dans le vaste monde de pouvoir qu'était celui de la Magie. Que ses idées et sa philosophie étaient dépassées, vaines et inutiles. Draco le croyait. Pourquoi ne l'aurait-il pas cru, d'ailleurs ? Lucius était son père, et son modèle. Quand il fut envoyé à Azkaban après s'être fait prendre au Ministère de la Magie, Draco s'assombrit considéralement, et décida de se jeter corps et âme à sa suite aux côtés de son Maître. Celui-ci l'acceuillit à bras ouverts, accompagnant son marquage d'un petit rire glacé et sans joie qui pétrifia l'adolescent, conscient qu'il ne pourrait plus jamais revenir en arrière.
Il devrait tuer Dumbledore.
Quelle blague..
La 6ème année qu'il passa à Poudlard fut, à proprement parler, un enfer. Il possédait dix mois pour réparer cette armoire maudite et ainsi forger un passage aux mangemorts pour leur permettre d'entrer à Poudlard. Autant dire que le Maître lui-même comptait sur lui. Il l'avait choisi ! Draco se sentait fier bien sûr, terriblement fier d'être l'objet de ce choix, mais d'un autre côté.. De permanentes menaces pesaient sur lui, et Voldemort le menaçait de son épée de Damoclès qui ne demandait qu'à s'abattre sur lui avec cet affreux rire glacial. Le deal était le plus simple du monde. "Si tu n'y parviens pas, rappele-toi que toi et ta mère êtes en mon pouvoir.. Je n'ai pas pour habitude de m'encombrer d'éléments inutiles."
Peut-être plus que pour lui-même, Draco obtempéra aussi pour son père, qu'il savait emprisonné quelque part. Il avait été déshonoré auprès des autres mangemorts, terriblement humilié, et le nom de Malefoy ne serait plus salit uniquement si Draco parvenait à remplir sa mission. Plus que pour sa mère, et plus que pour lui-même..
Désespérement seul, il fit tout son possible pour parvenir à ses fins. Severus Rogue le suivait de près, ajoutant un poids somme toute considérable à la tension qui le dévorait déjà. Il disait vouloir l'aider, mais les ordres étaient les ordres, et la fierté de Draco s'y ajoutait sans rien amoindrir ; il devait le faire seul. Personne, pas même Rogue, qu'il savait être un fidèle parmi le fidèles, ne pouvait y faire quoi que ce soit.
Il craqua, souvent.
Ses essais infructueux le livraient à une panique intarissable, et il pensa réellement ne jamais y parvenir. Il n'était vraisemblablement pas assez calé en magie. Au final, il aurait dû écouter son père et ne pas autant glander pendant les cours, qu'il jugeait auparavent inutiles en vue de son avenir assuré.. Mais même les élèves médiocres sont capables de grandes choses.
Malefoy réussit. Et avant qu'il ne puisse réaliser ce qui lui arrivait vraiment, Bellatrix Lestrange lui sussurait un "Bravo." mielleux à l'oreille. Dumbledore le regardait paisiblement, comme il aurait regardé un petit enfant qui serait venu lui demander pourquoi les balais pouvaient voler. Et Draco pointait sa baguette sur lui, tremblant, au bord de la crise de nerfs et proprement incapable de prononcer la formule fatale.
Ce fut Rogue qui s'exécuta à sa place.
Il savait déjà ce que cela signifiait. Il se laissa pourtant entraîner à l'extérieur, et pendant que Bellatrix s'amusait comme une gamine à tout faire exploser autour d'elle, Malefoy-fils lui ne parvenait pas à calmer les battements de son coeur, lui-même étant trop choqué et trop tétanisé pour réagir de quelque manière que ce soit.
Rogue l'emmena hors du château, et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire Draco se retrouvait à nouveau devant Voldemort. Tout comme son père il craignait cet homme, il en était à présent intimement persuadé. Il pensait sa dernière heure arrivée, mais Tom Jedusor se fit clément, et dans sa joie de voir un de ses deux pires ennemis enfin tombés, il épargna les deux pions qu'étaient pour lui Malefoy et sa mère.

CARACTÈRE •

Comment dire.. Et bien, si Draco a l'apparence d'un fils de bourges, il en a aussi le caractère. Rien dans sa personne ne saurait inspirer la sympathie chez quelqu'un d'autre qu'un pauvre d'esprit, ou, ils sont moins nombreux, les gens qui lui ressemblent un tant soit peu.
Comme toute sa famille avant lui le blondinet fut envoyé dans la maison Serpentard, mais le concernant ce n'était sûrement pas tant pour sa lignée prestigieuse que pour son tempérament. Comme le chante si bien tous les ans le chapeau répartisseur, Malefoy junior est donc rusé, roublard, et en fait terriblement intelligent. Il sait où trouver les points faibles et où toucher là où ça fait mal, en témoignent d'ailleurs le nombre impressionant d'élèves qui le craignent ou le détestent. Malefoy n'est cependant pas seul, loin de là. Pas physiquement du moins. En effet depuis toujours son statut, ou peut-être réellement sa prestance naturelle, lui donnent un pouvoir d'attraction assez considérable ; il suffit de quelques phrases, quelques critiques bien placées et de moqueries bien ajustées pour se mettre les ennemis des uns dans la poche, et les amis des autres à portée de main. Draco est incontestablement opportuniste, s'arrangeant toujours pour être là où il a une chance d'être remarqué, ou la possibilité d'obtenir quelque chose qui l'intéresse. Il a gardé son caractère d'enfant pourri gâté et capricieux, et ne supporte pas d'être contredit et de ne pas avoir ce qu'il veut, ou pire, d'avoir tort. Chose qu'il ne reconnaît évidemment jamais.
Difficile et intransigeant dans ses choix, il faut savoir s'incliner assez bas et le flatter assez haut pour espérer lui plaire, même si quelques exceptions confirment la règle, comme par exemple le très spécial Blaise Zabini qui, s'il n'idolâtre pas le jeune Malefoy, est peut-être la personne la plus proche de lui dans tout le château.
Pleutre et lâche, Malefoy est parallèlement très méprisant. Il ne supporte pas les sorciers d'ascendance moldue, et les moldus tout court, cela lui venant bien évidement de l'éducation paternelle. Il n'aime pas se plier sous une autorité qu'il juge injustifiée, comme c'est le cas pour la direction de Dumbledore sur l'école Poudlard ; cependant il ne contredit jamais un seul ordre de son père, qu'il admire depuis toujours plus que de raison. Il n'espère d'ailleurs rien de plus que de lui succéder dignement dans tout ce qu'il a déjà entreprit, pour le meilleur comme pour le pire.
Enfin, il a choisit de servir Voldemort mais craint cet être peut-être plus que quiconque. Et oui, on est peureux, ou on ne l'est pas..

AIME :

Emmerder son monde. Il aime aussi être admiré et adulé. D'ailleurs il ne supporte pas qu'on lui tienne tête. A part ça il aime.. voyons.. Non, pas grand-chose en fait.

DETESTE :

Qu'on le décoiffe. Le premier qui touche à ses cheveux, il s'en prend une. Il n'aime pas non plus les sangs de bourbe, les moldus, les pauvres, les traîtres à leur sang, Harry Potter, et les brocolis. Sa plus grande peur reste néanmoins le Seigneur des Ténèbres en personne, contraste bien significatif avec ce que Draco veut bien laisser voir.

PHYSIQUE •

Au premier coup d'oeil, il est simple pour un connaisseur d'affirmer que Draco est bel et bien un descendant Malefoy, et non pas un quelconque bâtard. Tout, chez lui, semble désigner son rang social en tout point supérieur aux autres ; pour commencer ses cheveux blonds, symbole caractéristiques de sa famille. Très clairs, presque blancs, Draco les porte courts et aime les plaquer sur son crâne à l'aide d'un gel magique particulièrement efficace, coiffure qu'il adopte depuis déjà plusieurs années parce qu'il est convaincu qu'elle lui confert un air royal. Son teint naturellement pâle n'en est d'ailleurs que renforcé, et il davantage soumis aux coups de soleil qu'au bronzage, qui semble somme toute impossible.
Plutôt mince, il a commencé sa véritable croissance l'été passé et a atteint une taille plutôt honorable pour un garçon de dix-sept ans ; lui qui avait toujours été plutôt petit comparé aux dinosaures qui lui servent de gardes du corps.. Cette vision était d'ailleurs plutôt comique, quand les deux dinosaures en question ne vous avaient pas déjà pris en chasse.
Ses mains fines et à la manucure impeccable ne sont manifestement pas faites pour les travaux ingrats réservés aux basses classes, mais plutôt aux activités d'élite dinstinguées et rafinées. Ses yeux d'un gris perle profond sont aussi perçants que ceux d'un faucon, mais caractéristiques au possible du petit garçon capricieux qui fixerait méchamment sa mère en lui réclamant la glace la plus chère de la carte des desserts. Couplés à ses soucils fins et bien dessinés, ses deux pupilles savent démontrer une palette impressionnante d'expressions ; bien souvent pourtant, elles n'en laissent transparaître qu'une infinie minorité.
Enfin, quand Draco ne revêt pas le traditionnel uniforme scolaire, il n'opte pas non plus pour les robes de sorciers démodées qu'affichent ridiculement les -pourtant- grands de ce monde. Non, lui il préfère les costumes. Sobres, sombres, et extrèmements classes.

PARTICULARITES:

Draco est très attaché à sa maison. Serpentard est un vrai symbole de ralliement pour lui, son père lui ayant toujours répété dans son enfance que Salazar Serpentard fut le seul véritable sorcier fondateur de Poudlard, que sans lui rien n'aurait été pareil et que ses idées étaient de loin les meilleures. Draco possède d'ailleurs une bague en forme de serpent au majeur droit.

___V.I.P you are.

Moi c'est Nath, j'ai 19 ans, et c'est sûrement suite au visionnage du 6ème film que je viens de retomber en plein dans HP. Nostalgie, tout ça. Et puis, pour une fois que je peux incarner Draco, je ne vais pas me priver.

CÉLÉBRITÉ SUR L\'AVATAR •

Tom Felton.

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