Versions of violence [ Voldemort ]

Quand Bellatrix lui annonça que le Maître le réclamait, Draco réprima un frisson. Il savait qu'elle-même avait eu une entrevue avec le Big Boss le matin même, mais il n'avait pas osé lui demander ce qu'Il lui avait dit. En fait, c'était surtout sa fierté qui l'en avait empêché. Après tout, il lui avait bien certifié que ce serait elle qui serait punie pour son comportement et celui de Greyback durant la mission Ollivander.. Néanmoins, au fond de lui, le petit prince de Serpentard n'en menait pas large. Voldemort l'avait nommé responsable, et il avait beau maintenir comme il le pouvait son apparence pompeuse et assurée, cela ne changerait rien à la donne. Si Bellatrix n'avait pas été punie, cela serait très certainement différent pour lui.

Se sentant à nouveau sur le point de vomir comme à chaque fois qu'il avait dû se présenter devant leur Maître, Draco tenta de rassembler ses pensées. Il lui dirait qu'il n'y était pour rien. Que le Loup-garou n'en avait fait qu'à sa tête (ce qui était vrai), qu'il leur avait pourtant très clairement donné les indications nécessaires (ce qui était vrai), et qu'il avait tenté de sauver le vieux par tous les moyens possibles et imaginables (ce qui était un peu faux ; s'il n'avait pas mit aussi longtemps à se relever après le coup de poing de Greyback, il serait peut-être arrivé à temps pour l'empêcher d'attaquer Ollivander, de même que s'il avait un peu plus prêté attention aux enseignements rares mais existants de sa mère, il aurait sûrement sû lui-même comment dispenser un sort de soin convenable.)

Le pire, c'est qu'il ignorait si le Maître avait réussi à récolter les informations qu'il convoitait ou non ; et cela, ça changerait certainement tout le déroulement de leur prochain rendez-vous. Quitte à choisir, Draco préférait avoir affaire à un Voldemort heureux et hystérique quoi qu'effrayant plutôt qu'à un Lord Noir fou de rage et aux dessins meurtriers. Personne, au Manoir, ne semblait savoir ce qui avait résulté de l'arrivée du vieux vendeur de baguettes. La Marque ne lui avait donné absolument aucune indication non plus ; aucun frisson glacial, aucune démangeaison insupportable, aucune douleur d'aucune sorte. Mais Draco ne se faisait pas d'idées ; fatalement réaliste, il se bornait à repasser en boucle dans sa tête les deux seuls scénarios qui semblaient encore réalisables. Soit tout s'était bien passé, et Voldemort lui laisserait la vie sauve. Soit, et celui lui donnait une nausée monstrueuse, il mettrait toutes ses menaces à exécution. Et dans ce cas, il n'y aurait pas que les menaces qui seraient exécutées.

Une nouvelle fois incapable de manger quoi que ce soit, Draco avait fuit la compagnie de son père qui lui aurait sans doute rappellé l'honneur que représentait le privilège d'un entretient avec le Seigneur des Ténèbres, et celle de sa mère qui l'aurait couvé toute la soirée de son regard dénaturé, en le fixant comme s'il n'était qu'un petit enfant misérable. Elle se serait certainement évertuée à le défendre si elle connaissait l'ampleur de la situation, mais Draco, quelque part par égard pour elle, ne lui en avait pas touché un seul mot. Il savait à quel point elle se serait inquiétée, et en temps normal c'était déjà le cas. Alors si elle apprenait qu'il avait de grandes chances de mourir dans la soirée.. Il était rare que Draco pense aux autres avant lui-même. Mais la triste vérité, c'est qu'il savait de toute façon sa mère incapable de faire quoi que ce soit pour lui.

Se sentant pour le coup affreusement seul, Draco s'était réfugié dans sa chambre pour écrire un mot à Blaise. Blaise Zabini. La plume en l'air, la main tremblante, il avait longuement hésité. Il ne devait donner aucune information quand à ce qui se déroulait dans le Manoir, bien évidemment ; il n'était pas suicidaire au point d'offrir à Voldemort une nouvelle raison de vouloir se débarasser de lui. Un "Au secours" se serait révélé tout aussi inutile, parce que l'adolecent n'était pas stupide au point de croire que son meilleur ami débarquerait d'un coup sur son balai volant pour le sortir de cette mauvaise passe. Blaise ne pouvait rien pour lui, pas plus que sa mère, pas plus que n'importe qui. Draco se savait désespérément seul, ce n'était pas une simple impression.
Finalement, il se décida pour quelques mots, se demandant comment le ton amical pouvait bien refaire surface dans son esprit à un moment pareil : "Ne fais jamais confiance aux femmes, ni aux loups-garous. Et dis à Pansy que de toute façon, je ne lui aurait jamais laissé faire quoi que ce soit de plus. Même si elle pleure, dis le lui. Ce serait stupide de laisser quelqu'un d'indécis derrière soi. Quant à toi, arrête ces blagues complètement connes sur ta bite ; ça n'a toujours fait rire que moi."

Malfoy étant bien évidemment ce qu'il était le parchemin termina sa course roulé en boule dans la poubelle, et la porte de la chambre claqua bruyemment avant de laisser le silence remplir la pièce.



Cela faisait à peine quelques mois que Draco avait appris à transplaner, comme la majorité des élèves de Poudlard de la même promotion que lui. Entre deux tentatives de réparations de l'armoire maudite, il avait suivit des cours dans la grande salle avec des représentants du Ministère, des abrutis qui les obligeaient à sauter dans des cerceaux. Il ne s'était pas montré particulièrement doué pour ça, à l'époque, mais dès qu'il quitta l'école – en grande précipitation – et que son destin s'accéléra encore davantage, Lucius Malfoy jugea impératif de lui dispenser quelques leçons particulières à ce sujet.

Il ne s'était jamais rendu à Little Hangleton. Pourquoi l'aurait-il fait ? Il n'avait jamais entendu parler de cette ville, ni en bien, ni en mal. D'ailleurs il n'était même pas question de ville, mais de simple village perdu au beau milieu de la campagne anglaise. Draco reteint son souffle alors que ses yeux s'accoutumaient à l'obscurité du lieu. Il était dehors. Dehors, et plus précisemment dans un cimetière. Vision aussi macabre qu'ironique, s'il en est. Encore un peu secoué par son transplanage, l'héritier Malfoy jeta un coup d'oeil à Bellatrix, qui l'avait emmené jusqu'ici. Pourquoi un cimetière ? Pourquoi au beau milieu de la nuit ? Oh certes, il songea que c'était avant tout pour une question d'esthétisme. Venant de Voldemort, cela n'aurait pas eut grand-chose d'étonnant. Mais tout de même..

Réprimant un nouveau frisson, le blond lâcha Bellatrix des yeux pour regarder autour de lui, l'angoisse lui tordant méchamment l'estomac. Il ne savait même pas à quoi s'attendre ; Voldemort comptait-il le faire attendre des heures ? Etait-il occupé avec un autre mangemort, au même moment ?

Quelque chose bougea derrière la rangée de tombes de droite, et Draco sursauta sans pouvoir s'en empêcher, refoulant un haut-le-coeur. L'aspect du Seigneur des Ténèbres le dégoûtait toujours autant. Ses membres squelettiques, translucides, et son expression inhumaine.. C'était proprement révulsant. Sans attendre, Malfoy se jeta à genoux sur le sol, oubliant complètement Bellatrix, qui se tenait toujours derrière lui.

"Maître.." murmura-t-il en fermant les yeux très fort, et les couleurs se mélangèrent derrière ses paupières closes.

Autorisant d'un signe de la main, son loyal fidèle à le quitter, le mage noir se retourna vers la tombe de son défunt père, le regard pétillant de fierté, un sourire satisfait aux lèvres, l'air hautain. On aurait dit un enfant qui voulait en narguer un autre. C'était ça. Le puissant Lord voulait simplement aller cracher sur la tombe de Dumbledore, et lui annonçait que celui qu'il avait prit pour son allié, son ami, s'était en fait moqué de lui,et l'avait trahit pendant tut ce temps. Rogue avaitchoisit Son camp, et pas celui du vieillard, et ça, le maitre s'en vantait, et il aurait aimé pouvoir narguer Potter et tous les autres.
L'homme-serpent se retourna, se souvenant du rendez-vous avec le gamin Malfoy, ce petit impertinantqui se croyait plus fort que tous les autres, un enfant trop gaté, trop habitué à voir les choses se faire seules. Et à force de se berçer d'illusions, le petit prince était tombé du haut de son trône, et il était désormais au plus bas, aux pieds du seigneur des ténèbres, et tout ce qui le rattachait au trône était un simple fil, un fil qui menaçait de lâcher à tout moment.
Mais pour le moment, le fil était entre les longs doigts blancs de Voldemort. Et pour l'instant, la seule hosequ'vait envie de faire le mage, c'était de le couper. Ce sale gosse avait de nouvaux échoué une mission. Les conditions de la mission n'avaient pas été respectées, le marchand de baguette était dans un état pitoyable, et il état difficile de croire qu'il pourrait être de la moindre utilité au seigneur.
De sa silhouette fantômatique, l'héritier de Salazar s'avançait entre les tombes, jusqu'à arriver derrière Bellatrix et son neveux. Il n'adresa aucun regard à sa fidèle, il s'avança directement d'un pas pressé vers le jeune garçon, qui s'était empressé de s'incliner. Mais trop énervé, pour tourner autour du pot, Il brandit sa baguette d'if sur Draco, et pronnonça d'une voix aigu:

- ENDOLORIS !

Un petit sourire ranima le visage du Lord, il était un peu plus satisfait, mais ce n'était pas terminé, Il allait apprendre à ce morveux ce qu'il arrivait au personnes faibles.

- Je me suis trompé Draco. Tu es faible, tout autant que ton imbécile de père. Et tu as encore une fois échoué à une misson. Tu ne me laisses plus le choix.

Lord Voldemort commença ensuite à prendre gout au jeu, sa colère s'était un peu appaisée,et il pouvait désormai commençer à jouer avec le jeune Malfoy. Il allait laisser le garçon s'humilier, se trainer à ses pieds, implorer son pardon, pleurer en le suppliant de l'épargner, de lui accorder une nouvelle chance. Mais de la chance, n'en avait-il pas déjà eu suffisamment ? Trop même. La seule chose dont il pouvait encore se vanter, c'était d'êtr encore vivant, après tous ces échecs.
Le mage noir lança posa ensuite son regard noir sur Bellatrix, mais celui-ci n'était pas mauvais, c'étit plutôt un regard provoquant, qui voulait dir: "tiens, regarde ce quil va arriver à ton petit neveux" D'une certaine manière Voldemort en voulait à Bellatrix de ne rien avoir fait pour empêcher le loup garou de s'attaquer au fabriquant de baguette, mais il savait au fond de lui même que c'étit entièremnt de Sa faute, il avait lui même envisagé les domages qu'il y aurait, en envoyant Bellatrix et Greyback. Et puis, Il ne pouvit pas punir la mangemort, elle était sa plus dévouée et sa plus expérimentée fidèle. Après Sa chute, elle et Rodolphus avaient été les seuls à Le chercher désespéremment, et elle avait était la seule à croire en Lui.

Le seigneur des ténèbres, pointa de nouveau sa baguette sur le garçon, et une série de Doloris s'en suivirent, rompant le silence pensant du cimetière, par des longs cris de douleur, nourrissant d'avantage le rire diabolique du maitre. Puis, décidant que la punition n'était peut être pas assez sévère, et éffrayante, Il entailla la joue du blond à l'aide de sa baguette, laissant le précieux sang pur coulat lentement sur la peau blanche de l'héritier Malfoy.
Un sourire sadique s'étira sur Ses lèvres pâles, le jeu allait pouvoir commençer. Le sang allait couler...

Même si Draco avait actuellement les nerfs au maximum de leur excitation, il n'eut pas le temps de réagir quand Voldemort lui jeta un sort. Reagir comment, d'ailleurs ? Il était purement impossible de résister à un Doloris, surtout quand celui-ci venait du plus puissant mage Noir de tous les temps. Draco n'avait jamais reçu de Doloris auparavent. Il l'avait déjà envisagé, après tout c'était une punition relativement commune dans ce milieu, et nombre de mangemorts avaient du avoir à y faire face à un moment ou à un autre dans leur carrière. Son père, notamment. Mais lui, jamais. Et quitte à choisir, il aurait préféré que ça n'arrive pas aussi vite.

A la réflexion, c'était bien pire que ce à quoi il s'attendait. Un million de fois pire, sans doute. Il savait que les parents de ce crétin de Neville Londubat, et bien d'autres comme eux, avaient finit par perdre la raison à force d'avoir enduré ce sortilège ; actuellement, et au milieu du marasme de ses neurones en ébulition, il comprenait pourquoi.

En premier lieu, le choc le heurta de plein fouet, lui coupant purement et simplement la respiration. La douleur s'insinua, vicieuse, le long de ses bras et de ses jambes, atteignant peu à peu sa tête et s'en emparant en un clin d'oeil. Alors, seulement, il se mit à hurler. S'il n'avait pas déjà été au sol, il serait très certainement tombé ; son corps était comme agité de spasmes, et il ne parvenait plus à distinguer quoi que ce soit. Bellatrix, Voldemort, le cimetière, plus rien n'avait de forme concrète et reconnaissable ; plus rien n'existait mis à part cette souffrance inssoutenable, qui lui labourait les organes et faisait exploser la moindre cellule de son corps d'une manière proprement inégalable. Draco n'avait plus conscience de rien. Il aurait voulu prier pour que tout cela s'arrête, mais il était incapable de parler, et le seuls sons qu'il parvenait à émettre sans pour autant s'en rendre compte étaient des hurlement déformés par la douleur, brûlante, perçante, infinie qui lui donnait l'impression que son corps volait en éclats.

Enfin, après ce qui semblait des heures, tout s'arrêta.

Malfoy resta prostré dans la poussière, ne pouvant même pas esquisser le moindre geste. En fait, il aurait préféré que son corps soit réellement disloqué, ainsi il n'aurait pas eut à ressentir un engourdissement pareil. La gorge sèche d'avoir tant crié, il releva finalement péniblement la tête vers Voldemort qui, la baguette toujours à la main, le regardait avec une froideur absolue. Draco se sentait au-delà même de la peur. Il ne pouvait rien faire, absolument rien. C'était peut-être ça, le pire. L'impuissance pleine et entière. Inconcient des larmes qui coulaient sur ses joues il cru entendre le Lord lui reprocher une nouvelle fois de ne pas valoir plus que son père, mais à cause du boudonnement continu de ses oreilles il ne pouvait pas l'affirmer. Ca n'aurait rien eut d'étonnant, cependant. Et il aurait aimé se jutifier sur ce point, qu'il trouvait parfaitement injuste. Son père était fidèle, et il l'était tout autant, sinon plus. Pourquoi Voldemort malmenait-il ainsi ses recrues ? Pourquoi lui infligeait-il une chose pareille ? Oui, il aurait sans doute aimé le lui demander, s'il n'avait pas craint une représaille bien pire encore qu'un Doloris. Doloris qui revint d'ailleurs en force, par vagues, une fois, deux fois, une pause, une nouvelle fois, et Draco n'arrêtait plus de hurler, la voix cassée et le corps tout entier percé de milliards d'aiguilles, lacéré de tous les côtés par le sadisme de Tom Jedusor, qui s'en amusait, c'était certain.
Mourir. La mort semblait tellement salutaire, à cet instant, pour le blond qui la fuyait pourtant avec toute la lâcheté de son rang en temps normal. Que tout s'arrête, par pitié.

"Pitié, pitié.." couina-t-il d'ailleurs alors que le Maître abaissait une nouvelle fois sa baguette, et pour toute réponse il reçut comme un coup de poignard au visage, son sang se mêlant vite à ses larmes alors qu'il comprenait que tout cela ne faisait que commencer. Si Voldemort avait été aussi clément après sa première mission, c'était parce que tout cela n'avait été que partie remise. Jamais il n'avait eut un instant l'envie, la moindre once de désir de l'épargner.

Draco sentait tous ses muscles se raidir si fort que cela lui faisait encore plus mal, si c'était seulement possible.

"Je ferais tout.. Tout ce que vous voulez.. Arrêtez je vous en supplie, arrêtez !" lâcha à nouveau l'héritier Malfoy dans un sanglot, alors que suite à une impulsion soudaine il était pervenu à se reculer jusqu'à une pierre tombale à laquelle il s'agripa comme si elle représentait une quelconque échappatoire.

Le rire aigu du puissant seigneur des ténèbres résonnait dans tout le cimetière, et la souffrance du garçon ne faisait qu'accroitre Son plaisir sadique, la douce odeur de la peur nourrissait l'envie de meurtre du puissant mage. Ses pupilles reptiliennes brillaient, et reflétaient la créature sombre et cruelle qui vivait en Lui. Torturer, tuer, faire le mal, étaient tout ce qu'il y avait de plus jouissif à Ses yeux, et ce spectacle terrifiant ne faisait que commençer, et la nuit s'annonçait bien longue pour l'héritier Malfoy.
Il faisait longuement pivoter sa baguette en bois d'if entre ses longs doigts agiles, réfléchissant, au prochain sortilège, tout en riant en entendant le garçon hurler, et Le supplier d'arrêter. C'était si satisfaisant d'entendre le gamin s'humilier, se rabaisser à un tel stade de soumisson, qu'il en devenait totalement ridicule. Mais non, le maitre n'avait pas envie de stopper le jeu maintenant, il voulait continuer la séance de torture, il voulait se sentir encore plus fort, il voulait se défouler sur Sa nouvelle victime de cette nuit. Le sourire mauvais qu'affichait le puissant seigneur s'élargit d'avantage lorsque Draco attrapa une pierre tombale, pensnt certainement qu'elle l'aiderait à survire, qu'elle le protégerait de Lui... Comme si de violer la scépulture d'un mort, faisait peur à Voldemort, comme si il ne l'avait pas déjà fait auparavent, c'était pitoyable, de voir comment le gamin s'acharner à s'accrocher à la vie. Il ne suffisait que d'un tour de baguette, et il ne resterait de lui qu'un simple corps inanimé, avide d'expression, que l'on pourrait agiter comme un vulgaire pantin.
L'héitier de Salazar fit ensuite apparaitre, une pelle, un objet moldu, qu'il déposa aux pieds du garçon.

- Tiens. Prends-là, et creuse, creuse comme un moldu. Creuse un trou, TON trou.

Le regard du Lord aurait fait frémir n'importe qui, et les rumeurs idiotes qui racontaient qu'Il tuait au simple regard, n'étaint peut être pas fausses à vrai dire. Le ton de Sa voix avat quelque chose de si doux, si lent, si calme que cela rendait l'ambiance encore plus terrifiante.
Il avait envie de voir Draco ouvrir lui même la porte à la mort, Il voulait le voir avançait lentement, vers le gouffre. Le maitre lança ensuite un regard à Bellatrix, une idée venait de Le survoler. Pourquoi torturer lui même le gosse, alors qu'il y avait sa propre tante, complètement hystérique et sadiue, tout à fait apte à le faire elle même. C'était tellement plus amusant de voir une tante torturer son neveux. Et puis, c'était une manière de montrer à Draco, qu'il ne pouvait se reposer sur personne, le seul maitre de ce jeu, c'était Lui, Lord Voldemort.

- Bellatrix. Avant que ton neveu ne commençe à creuser, montre toi digne d'être Ma fidèle. Montre lui ce qu'il arrive à ceux qui me déçoivent.

Le Lord plongea ensuite ses yeux dans ceux de Draco. La nuit s'annonçait longue.