Topic commun : Si "Harry Potter" m'était conté.

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Harry Potter le remix

Topic commun : Si "Harry Potter" m'était conté. Harry-Potter-and-the-Half-Blood-Pri

L'histoire dans laquelle Harry n'a qu'une importance mineure, où les armoires ont par contre une importance capitale et dont les personnages ont des pratiques (magiques ou pas) douteuses.

&What ?

- Malefoy, sors de cette armoire.. soupira le rouquin en donnant un énième coup de pied dans le bois rongé par les mites de l'armoire bancal. Ennuyé, le rouquin lança un regard appuyé à Hermione qui venait de lui signaler la présence du blond dans l'objet incongru. Il fallait dire que Draco recherchait désespérément un endroit où se cacher depuis qu'Harry avait malencontreusement détruit son armoire à disparaitre de la salle sur demande en envoyant sauvagement Ginny dessus en espérant lui faire l'amour comme si leur heure venait de sonner. Depuis, le blond en faisait une névrose obsessionnelle. Sa vie se résumait à faire une collection d'armoire aussi stupide qu'impresionnante, et, bien souvent, les Gryffondor étaient aux premières loges pour lui faire reprendre raison. Ou pas, d'ailleurs.

- Va te faire vendre Weas-moche ! hurla une voix étouffée sortant du meuble, le blond ne semblant absolument pas décidé à sortir de là. La liberté d'expression, ce genre de conneries. De toute façon, ses revendications étaient claires ; soit Potter lui livrait Ginny sans discuter, soit il continuer de séquestrer toutes les armoires de l'Angleterre pour son effet personnel. Autant dire qu'il avait des arguments de poids.

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- Oh, Malefoy, fais pas ta fluette. soupira Ron en donna un énième coup de pied dans l'armoire dont les origines québeccoises refaisaient parfois surface un peu contre son gré. La présence de Firenze dans l'armoire ne lui soutirait pas la moindre compassion, quant à lui ; il était tout à fait hors de question de livrer Ginny à ce garçon. Qui sait ce qu'il pourrait lui faire ?!
- Enlève au moins le baillon à Firenze, qu'on puisse au moins savoir s'il va vraiment bien ! Je sais pas, détache lui les pattes, au moins. On sait jamais, il pourrait avoir une crampe ? tenta-t-il en adressant un sourire maladroit à Hermione, histoire de remonter dans son estime. Oui, oui, bon, c'est triste pour Firenze, mais voilà, quoi. Pas sa soeur. Ni l'armoire.

Malefoy hésita un instant, mais il faut dire que l'air devenait irrespirable dans l'armoire. Un cheval, qui plus est à moitié humain, c'est pas réputé pour sentir la rose. Au moment même où il allait consentir à la demande de Ron, une explosion violente retentit, faisant voler l'armoire en éclats. Fred & George Wealey riaient, cachés sous une table, en agitant leur boîte de pétards surprises. "Oups, mal visé." s'excusa simplement l'un des deux frères, alors qu'à quelques mètres de là Firenze s'agitait ridiculement sur le sol, les pattes toujours attachées et la crinière complètement crâmée. Malefoy se releva, l'air fier, époussetant sa veste avec une classe incontestable. Même pas mal. cracha-t-il, méprisant, mais avant que les autres puissent réagir il lança un Wingardium Leviosa sur Firenze pour le balancer sur les jumeaux. Faut pas toucher aux armoires de Draco.

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- LUMOS !

Ron, lui, perdit connaissance après que Georges l'ait frappé dans l'intention de greffer son corps à son frère agonisant.

Aveuglé par le Lumos, Draco hurla le "Nooooooon !" du méchant qui perd la bataille, et il tituba en arrière avant de tomber dans la crevasse créée par l'explosion. Mais il avait un allié, George Weasley, qui soumis à l'impérium assoma Hermione avec une chaise.

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Hermione perdit connaissance et plongea dans un sommeil profond peuplé de centaures homosexuels et de chanteurs de rap névrosés.

Toutes les armoires avaient disparu. Pouet, prout, envolées, comme ça. Des rumeurs disaient qu'un fétichiste, avide de fantasme, avait récupéré chaque armoire passant sous ses yeux pour les entreposer dans une pièce cachée, destinée à ces activités douteuses. Un nouveau style de chambre des secrets quoi.
Evelyn, intriguée par ce genre de ragot, avait décidé de partir à la recherche de cet individu étrange et de - pourquoi pas - partager avec lui de nouveaux horizons.
Pleines d'idée et d'excitation, la jeune professeur de botanique arpenta chaque pièce avant d'enfin trouver la pièce de tous les délices. Malheureusement, ce n'était réellement comme elle l'imaginait;
C'était un endroit assez chaotique, explosé de toutes parts où jonchaient quelques restes d'une armoire en bois. Au sol, Evelyn aperçut avec effroi la plupart de ses élèves, sans connaissances, alors qu'un grand rouquin balançait tout ce qu'il trouvait sur la tête des autres. De l'autre côté de la pièce, un centaure poussait des gémissements bruyants, attaché à chaque extrémité.

- Les enfants sont choquants de nos jours. lâcha le professeur, a moitié effrayé devant cette innocence bafouée. Elle se tourna ensuite vers le centaure; Vous me décevez Firenze. Utiliser des enfants pour vos plaisirs personnels, je trouve ça écœurant. En plus, aimer être attacher c'est un fait, mais quand on sait que vous vous battez pour ne plus être traiter comme des animaux... Enfin bref.

Le professeur réanima tous les inconscients et alla sortir Draco de son trou en leur expliquant comment la justice magique punissait les centaures qui abusaient d'enfants et qu'ils étaient maintenant en sécurité.

À peine réveillé, Ron se mit à hurler en voyant Georges lui foncer dessus avec une faux en forme de pattes d'araignée, et il courut en levant des bras tout en exprimant son désarroi en gueulant "Aaaah."
- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!
La mort lui courrait après, alors Ron fit ce que tout personne sensée ferait dans ce genre de moment : il se mit à pleurer sa mère.

Molly Weasley arriva au secours de son fils en agitant dans les airs une poële à frire géante et en donnant des coups sur tout et n'importe qui.
PAS TOUCHE A MON GOSSE hurla-t-elle avant de frapper George qui lâcha sa faux, avant de se souvenir que George était aussi son fils.

Draco emmergea de son trou en crachotant, mais George, affreusement humilié, décida de se suicider dans la crevasse au même moment et il lui rentra dedans, faisant retomber Malefoy à l'interieur. Firenze, lui, tenta de se justifier mais le sorlilege de mutisme était toujours actif, aussi son "HNHNHNHN HN HN" ne suffit-il pas à convaincre Evelyn.
Reveillé par le vacarme, Rogue se pointa alors, mal coiffé et vêtu d'un magnifique pyjama de soie violette. Il demanda pourquoi -diable- faisaient-ils tous autant de bordel au-dessus de SA chambre, et pour bien montrer qu'il était en colère il leur lança à tous un sortilège de Lumos général. Rogue, faut pas le chercher.

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Guidée par son instinct de survie phénoménal, Hermione ouvrit un oeil puis l'autre mais fut immédiatement aveuglée par une lumière fulgurante et replongea dans un coma profond.

Suivi par Ron qui, s'il fut aveuglé par la lumière, ne put empêcher une collision inévitable avec Rogue - il n'avait pas remarqué que Georges s'était suicidé et avait préféré continuer de courir, instinct de survie. Du coup, il tomba à la renverse avec le professeur de potion, et lorsqu'il remarqua qu'il était sur ce dernier, la bouche posée contre la sienne, il préféra s'évanouir.

Draco lui était tombé tout au fond de la crevasse, et vu le bordel qui régnait à la surface il préféra autant rester là.

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La vie dans le monde magique, c’était comme un kinder surprise. Il y avait d’abord l’emballage qui donnait une bonne impression du produit. Puis ensuite un doux goût de chocolat fondait dans la bouche et, enfin, on tombait sur une surprise étonnante et incroyablement inutile. Bref, une comparaison aussi hâtive que stupide ne mérite même pas d’être énoncée revenons donc à notre sérieux. Le monde magique subissait en ce moment de graves turbulences qui interpellaient de nombreux sorciers. Un chasseur de vieilles armoires d’époques avait parut au grand jour, exposant son exquise envie de posséder toutes les armoires du monde ; moldu comme sorcier. Même Samantha, ma sorcière bien aimée (un feuilleton moldu qu’Arthur Weasley appréciait particulièrement) ne pouvait rien contre ce phénomène inexplicable. Ginny se leva de bonne heure ce matin là et constata que son armoire (ainsi que ses sous-vêtements) avait mystérieusement disparue. Sa logique lui dit que cela devait être sa mère qui, dans un élan de nettoyage intense, avait décidé d’astiquer sa garde-robe, qui sait ? La rouquine se rendit donc dans la salle de bain et là ; stupeur. L’armoire de cosmétique n’y était guerre. Etrange. La cadette Weasley se mit sur une piste et suivi les chaussettes qui provenaient de l’armoire de Percy, tombée une à une grâce à un trou qui se trouvait dans le tiroir de gauche. Une heure et demie plus tard, la jeune sorcière se retrouva nez à nez avec Hermione Granger, évanouie en plein milieux d’une salle sinistre, chaotique, avec des restes de planches de noisetier. Diantre ! Etait-ce l’armoire de Percy qui avait décidé de mettre un terme à ses jours ? La demoiselle chassa cette affreuse pensée de sa mémoire ; c’était déjà assez dur de croire que la pauvre armoire qui avait bercé son enfance avait été kidnappée ! Hermione saurait peut-être où elle était passée ! Ginerva se glissa en grimaçant entre Firenze le centaure et Rogue qui s’embrassaient langoureusement pour arriver à la hauteur de son amie (soit, le sol). D’un geste souple et gracieux, la lionne rousse gifla, griffa, mordit, secoua la demoiselle Granger afin que cette dernière revienne de son profond coma lointain.

— Hermione ! Revis ... Le père Noël est en train de violé ta mère !

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Alors qu'Hermione s'apprêtait à embrasser un livre géant sur les mangoustes aquatico-herbivores du Sud, elle fut violemment réveillée par deux torgnoles dans la gueule. Il lui fallut quelques minutes pour recouvrir la vue et reconnaitre son sauveur agresseur (rayer la mention inutile). Jetant un coup d'oeil autour d'elle, la jeune sorcière fut choquée devant tant de violence, de dépravation et de manquement au code de l'école, article 4, alinéa 5 bis qui stipule qu'on ne touche pas aux armoires, ni aux centaures, ni aux cages thoraciques. Mais ce qui l'épouvanta véritablement, ce fut de voir Ron la tromper effrontément avec le directeur de Poudlard. Elle éclata en sanglot sur l'épaule de la pauvre Ginny.

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Apparemment, Rogue avait délaissé le centaure pour se permettre de fourrer ses mains dans le pantalon du pauvre Ronald Weasley, sous les yeux gros de Ginerva qui, trop fascinée par ce phénomène phénoménal, avait arrêté de gifler son amie qui se réveilla miraculeusement. Etait-ce l’allusion du Père Noël violant sa mère de la rouquine qui l’avait ramenée du monde magique d’Alice au Pays des Merveilles. Instantanément, Hermione éclata en sanglot sur l’épaule de Ginny qui n’osa la repousser. La rouquine tourna machinalement la tête vers ce qui, visiblement, avait fait fondre la sorcière en larme. Dans une grimace de dégout, la vérité éclata aux yeux de la Weasley ; Ron était à présent nu et son corps se faisait avidement tripoté par les mains baladeuses de Rogue. Quel affreux spectacle. Ginny préféra entraîner Hermione dans une armoire qui se trouvait sur leur gauche. Au moins, là, elles étaient en sécurité… Quoi que.

Mais Draco, qui avait finalement décidé de s'extirper de sa crevasse pour retourner se cacher dans l'armoire à cosmetiques des Weasley comme un ecureuil dans son trou, ne vit pas leur arrivée d'un oeil favorable.
- Ah non, pas encore ! jura-t-il à l'entrée des deux filles, d'autant plus que l'une d'elle était rousse et que l'autre chialait toutes les larmes de son corps ; Draco étant un garçon particulièrement sensible il détestait voir les gens pleurer, c'était bien connu.
Il lança un Chauve-furie qui leur passa au-dessus pour arriver involontairement jusqu'à Rogue (Malefoy était aussi connu pour savoir viser comme un pied), et le professeur de potions se releva en hurlant, et en agitant le bras avant de se lettre à courir dans tous le sens, affolé. Oui parce que c'était bien connu aussi, Rogue avait une peur monstre des chauve-souris depuis qu'il s'était fait violer par son père lui-même transformé en chauve-souris, des années auparavent.

Evelyn manqua de se faire sauvagement violer par une accromentula sauvage en tutu, pendant que la jeune femme vantait les mérites de la sauvegarde de l'enfance. Après avoir lancé un stupéfix sur l'araignée géante, Hagrid défonça le mur en hurlant des jurons contre la professeur de botanique et se jeta aux côté de son animal stupéfixé en pleurant. Evelyn se confondit en excuse auprès du garde chasse, mais celui était tellement en colère qu'il sortit son parapluie et changea la jeune femme en chèvre. Morte de honte et d'effroi, la nouvelle chèvre bondissait dans toute la pièce en donnant des coups de sabot sur tout élève passant sur son chemin, tout en parfumant la sale de son odeur délicate de brebis des montagnes.

» Harry James Potter • The Boy Who Lived