April J. Stanford { Terminé

___lettre d'admission
NOM • Stanford
PRÉNOM(s) • April Joyce
AGE • 16 ans
ANNÉE • 6ième
MAISON • Serpentard
DATE & LIEU DE NAISSANCE • 26 Novembre 1981 - Boxton.
NATIONALITÉ • Anglaise
SANG • pur/mêlé/né-moldu/ inconnu. " De nos jours, les familles de Sang-Pur sont tellement rares. Je ne saurais moi-même dire si quelqu'un dans ma famille a un jour épousé un Moldu. Grand bien lui fasse, ça me fait de belles jambes."

___ça restera entre toi, moi et les meubles
CAMP CHOISI • " Harry Potter ? Salazar ! Ce type a le don de fourrer son nez dans ce qui ne le regard pas, à croire qu'il en fait exprès. Le Ministère ? De la connerie. Ils te bourrent le crâne avec leur idioties, et puis tu deviens leur Inferie perso. Non, ça me botte pas plus que ça. Et Voldemort, vous pensez peut-être que j'ai envie de mourire à 16 ans ? Je préfère encore combattre du côté de Potter, si je devais véritablement choisir."
TON AVIS A PROPOS DE CETTE HISTOIRE • " Je me demande bien pourquoi je ne suis pas née..disons, dix ans plutôt. Peut être alors aurais-je eu une scolarité à peu près normale, sans compter que je sois sorcière. Les temps qui courent vous donnent néanmoins une vrai leçon de vie. On profite de chaque seconde comme s'il s'agissait de la dernière. Je ne suis pas bien sûre de la fin de cette histoire et, à vrai dire, les alternatives que nous offres le Ministère ne sont pas des plus rassurantes. Je suppose que maintenant, soit ça passe, soit ça casse. Cependant, j'aime à croire qu'il y aura une justice. "
AUTRE CHOSE A DIRE PEUT-ÊTRE • " Quand est-ce que Rusard meurt ? "

___père castor, raconte nous une histoire
HISTOIRE • "Personne ne se souvient de ce jour. Surtout pas moi. Alors je vais l'inventer, combler les lacunes des mémoires pour vous."

C'était un jour où les nuages encombraient le ciel. Le vent de Novembre soufflait, si bien que le peu de passants étaient plongés sous les châles et écharpes, jusqu'au long manteau. L'odeur de formol et d'aseptisant devait être forte, parce que l'homme adossé au mur a le nez dans son mouchoir. Peut être bien était-il malade, je ne saurais vous le préciser. Les murs de l'hopital sont épais. Assez pour étouffer tout juste les hurlements de la femme coincée à l'interieur. Mais la tension était palpable, et son coeur tambourinait dans sa poitrine. Il n'en pouvait plus de la blancheur aséptisée de ces murs froids, sans fioriture quelconque. J'ai peut être vue la lumière artificielle pour la première fois quelques minutes plus tard. Moi j'ai toujours cru que le naissance était le plus beau jour de notre vie. Mais peint de cette manière là, j'ai peine à y croire. En plus, on s'en souvient jamais.

"Passons quelques chapitres. J'avais environ six ans lorsque j'ai découvert mes pouvoirs. Et puis les évenements se sont succédés d'eux même."

J'entendais d'ici la voix de Madame Henley hurler mon prénom. Comme j'étais née d'une famille de Sorciers, je n'avais pas eu le droit à l'éducation Moldue. Alice Henley se chargait de m'inculquer la géographie, les mathématiques, l'histoire et les langues étrangères. Je ne suis pas peu fière de pouvoir dire qu'aujourd'hui, je maitrise aussi bien l'anglais que le français. Alice n'était pas le prototype même du professeur. Un peu rondouillarde, je la soupçonnais de raffoler des friandises Moldues. Avec un peu de recule, elle était peut être simplement accro aux Fizzbizz.

Mes parents étaient assez riches pour se payer en plus un jardinier -Mr McEvans et nous avions notre propre elfe de maison, Lufkin. Celui ci s'evertuait à ranger ma chambre et faire mon lit, dont je froissais les draps sitôt fait pour le voir recommencer son opération avec un soin méticuleux et une ride de contrariété au coin de la lèvre.

Alice mangeait et dormait à la maison depuis quatre ans. Mais un jour, elle est partie. Elle fut renvoyée, parce qu'elle se gavait d'un truc qu'on appelait "M&m's". Et c'était pas sorcier. Adam, mon père et journaliste pour la Gazette, ne supportait pas les Moldus, aussi, Alice n'eut pas le temps de se justifier, qu'elle fut expulsée après des larmes et des excuses couplées aux insultes crues. Ma mère me bouchait les oreilles et m'avait mainte fois proposée un chocolat pour que je n'assiste pas à la scène. Mais je ne fermais jamais les yeux ni ne détournait le regard, aussi j'ai sû capturer celui d'Alice juste avant qu'elle ne se détourne.

"Le Choixpeau chantait avec une voix de vieux cuir rapiécé, mais j'étais trop concentrée sur le visage immense du gros barbus pour entendre qu'on m'avait appelé"

Je ne sais pas combien de temps il est resté sur ma tête à marmonner et passer en revue mes qualités et défauts. Je crois bien avoir poussé un soupire, parce que quelques secondes plus tard, il a hurlé "SERPENTARD" et toute une table s'est confondue en applaudissement. Je n'étais partie avec aucun appriori, aussi je ne soupçonnais pas que les pires sorciers y avaient été envoyés. En plus, je n'avais pas écouté la chanson.

Quelques semaines plus tôt, ma mère et moi nous étions rendue au Chemin de Traverse. J'étais heureuse d'avoir les meilleurs produits de la plus haute qualité alors que d'autres cherchaient dans l'occasion et les bas prix. Je n'avais pas pu m'empecher de pousser un cri de frayeur en ayant vue la tête du banquier à Gringotts, ni de casser une vitre avec une baguette en crin de licorne chez Olivanders.

Comme les chouettes étaient plus chères que les chats, je m'y étais précipitée, pointant du doigt un animal au plumage cuivré. Je l'avais appelé Lucian, parce qu'il s'agissait d'un mâle.

Les années se succedèrent. En deuxième année, j'avais appris qu'un prisionnier s'était échappé d'Azkaban, et j'avais fais croire aux premiers années que Fudge et Voldemort était la même personne. Ce qui m'a value les représailles du professeur Rogue, dont j'étais un peu amoureuse. Dieu merci, cette fixation m'est très vite passée.

A ma troisième année, je suis sortie avec un type de Serdaigle, que j'ai mené par le bout du nez jusqu'à la fin. Il s'est vengé un me jetant le sortilège de "crache limace" et quelques jours plus tard, sa mère lui a envoyé une beuglante.

En cinquième année, j'ai été nommé Préfète, et je prennais mes responstabilités à coeur. J'aimais mon rôle, même si Ombrage m'avait vacciné contre l'autorité.

Et aujourd'hui, mon histoire est encore à bâtir. J'ose esperer que vous avez tout gober. Je n'assure pas le vrai de ce comte.

CARACTÈRE • " Qui a dit qu'être à Serpentard nécessitait d'être une peste orgueilleuse et sadique ? Je suis une fille intelligente. Et tout le monde sait que l'intelligence permet bien plus de chose que la beauté. J'ai été éduqué en tant que tel, une enfant de riche, capricieuse et menteuse. Je pris vite goût au confort, aussi je ne supporte que trop mal que l'on me dise non. Polie néanmoins, je ne relève pas l'autorité d'un professeur ou d'un plus haut gradé. Je me contente de traduire mon mécontentement par des sourires acérés et un regard venimeux. Distinguée, je sais où me mettre au moment opportun sans que ma présence ne soit une gêne pour quiconque.
Je suis déterminée. Je suppose qu'il y a une limite à tout cependant, je m'efforce de les franchir, et je n'ai pas besoin d'être soutenue ou entourée pour cela. Je parviens à mes fins seule, car l'isolement ne m'effrait pas. C'est peut être un défaut, car je suis amenée à être hautaine et acerbe. Troquer ma solitude par un peu d'inconscience. J'apprecie les défits et les épreuves ne me font pas reculer. Mais parfois le courage est aux abonnés absents. Il y a des moments où j'aime laisser les heures s'avancer dans le silence d'un livre. Mais il ne s'agit que d'un mauvais passage, où, contrariée, le mutisme étouffant que j'entretiens me caractèrise."

PHYSIQUE • "Je ne mens pas. Si je ne suis pas très grande pour mon âge, ma silhouette fine et élancée m'allonge. Un ventre plat et des cuisses à peine rondouillares, des jambes fuselées et de longues mains anguleuses. D'apparence, je peux paraître fragile. Il n'y a pas un seul détail que j'oublie d'entretenir. De mes ongles jusqu'au grain de peau, en passant par mes cheveux. Long, ils cascadent dans mon dos et contre mes épaules en de boucles brunes.

Mes yeux cernés de noir sont voilés d'une opercule étrange, mature et presque blasée. Bleu, presque gris, je maquille mon regard souvent mais il m'arrive de ne rien soupoudrer sur mon visage.

Quant à mes tenues,outre mon uniforme scolaire, je reste distinguée et apprêtée. Il m'arrive d'oser des choses, mais, généralement, je me contente d'un jeans serré et d'un tee-shirt évasé. Je me pare souvent de bijoux, colliers et boucles d'oreilles, bracelets et bagues. J'aime jouer avec les détails.

___vip your are.
tu te présentes à nous ? toi, oh sadique narrateur et écrivain caché derrière l'écran !
CÉLÉBRITÉ SUR L'AVATAR • Kaya Scodelario